
sábado, 14 de mayo de 2011
domingo, 9 de enero de 2011
Les feuilles mortes

Oh! je voudrais tant que tu te souviennes
Des jours heureux où nous étions amis.
En ce temps-là la vie était plus belle,
Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui.
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle.
Tu vois, je n'ai pas oublié...
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle,
Les souvenirs et les regrets aussi
Et le vent du nord les emporte
Dans la nuit froide de l'oubli.
Tu vois, je n'ai pas oublié
La chanson que tu me chantais.
C'est une chanson qui nous ressemble.
Toi, tu m'aimais et je t'aimais
Et nous vivions tous deux ensemble,
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais.
Mais la vie sépare ceux qui s'aiment,
Tout doucement, sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis.
Traducción:
Oh, quisiera tanto que tu te acordaras/ De los días felices en que éramos amigos/ En aquel tiempo la vida era más bella/ Y el sol más ardiente que hoy/ Las hojas muertas se recogen a paladas/ Tú ves, yo no he olvidado…/ Las hojas muertas se recogen a paladas/ Los recuerdos y los pesares también/ Y el viento del norte los traslada/ Hacia la noche fría del olvido/ Tú ves, yo no he olvidado/ La canción que tu me cantabas.
Es una canción que nos reúne/ Tú, tú me amabas y yo te amaba/ Y nosotros vivíamos juntos/ Tú que me amabas, yo que te amaba/ Pero la vida separa a los que se aman/ Muy suavemente, sin hacer ruido/ Y el mar borra sobre la arena/ Los pasos de los amantes desunidos.
domingo, 5 de diciembre de 2010
lunes, 15 de noviembre de 2010
Me gustas cuando callas - Pablo Neruda

y me oyes desde lejos, y mi voz no te toca.
Parece que los ojos se te hubieran volado
y parece que un beso te cerrara la boca.
Como todas las cosas están llenas de mi alma
emerges de las cosas, llena del alma mía.
Mariposa de sueño, te pareces a mi alma,
y te pareces a la palabra melancolía.
Me gustas cuando callas y estás como distante.
Y estás como quejándote, mariposa en arrullo.
Y me oyes desde lejos, y mi voz no te alcanza:
déjame que me calle con el silencio tuyo.
Déjame que te hable también con tu silencio
claro como una lámpara, simple como un anillo.
Eres como la noche, callada y constelada.
Tu silencio es de estrella, tan lejano y sencillo.
Me gustas cuando callas porque estás como ausente.
Distante y dolorosa como si hubieras muerto.
Una palabra entonces, una sonrisa bastan.
Y estoy alegre, alegre de que no sea cierto.
viernes, 5 de noviembre de 2010
La Vida en Rosa - Edith Piaf

La vie en rose Edith Piaf (1915-1963) Des yeux qui font baisser les miens, Un rire qui se perd sur sa bouche, Voilà le portrait sans retouche De l'homme auquel j'appartiens... Quand il me prend dans ses bras, Qu'il me parle tout bas, Je vois la vie en rose; Il me dit des mots d'amour, Des mots de tous les jours, Et ça m' fait quelque chose. Il est entré dans mon coeur, Une part de bonheur Dont je connais la cause, C'est lui pour moi, moi pour lui dans la vie; Il me l'a dit, l'a juré pour la vie; Et dès que je l'aperçois, Alors je sens en moi Mon coeur qui bat. Des nuits d'amour à plus finir, Un grand bonheur qui prend sa place, Les ennuis, les chagrins trépassent... Heureux, heureux à en mourir! Quand il me prend dans ses bras, Qu'il me parle tout bas, Je vois la vie en rose; Il me dit des mots d'amour, Des mots de tous les jours, Et ça m' fait quelque chose. Il est entré dans mon coeur, Une part de bonheur Dont je connais la cause, C'est toi pour moi,moi pour toi dans la vie; Tu me l'as dit, l'as juré pour la vie; Et dès que je t'aperçois, Alors je sens en moi Mon coeur qui bat. La vida color rosa Ojos que hacen bajar los míos, una sonrisa que se pierde en su boca he aquí el retrato sin retoque, del hombre al que pertenezco… Cuando me toma en sus brazos, y me habla muy despacio, veo la vida de color rosa Me dice palabras de amor, palabras comunes y eso me provoca algo El entró en mi corazón, una parte de felicidad, cuya causa conozco El es para mi, lo que yo para él en la vida me lo dijo, me lo juró para toda la vida Y en cuanto lo percibo, entonces siento dentro mío, mi corazón latiendo Noches de amor que no terminarán jamás, una gran felicidad que toma su lugar los problemas, las penas se acaban… Felices, felices a más no poder! Cuando me toma en sus brazos, y me habla muy despacio, veo la vida de color rosa Me dice palabras de amor, palabras comunes y eso me provoca algo El entró en mi corazón, una parte de felicidad, cuya causa conozco El es para mi, lo que yo para él en la vida me lo dijo, me lo juró para toda la vida Y en cuanto lo percibo, entonces siento dentro mío, mi corazón latiendo. Libellés : Edith Piaf |
lunes, 1 de noviembre de 2010
EDITH PIAF - LA FOULE + LYRICS
Edith Piaf - La Foule
Je revois la ville en fête et en délire
Suffoquant sous le soleil et sous la joie
Et j'entends dans la musique les cris, les rires
Qui éclatent et rebondissent autour de moi
Et perdue parmi ces gens qui me bousculent
Étourdie, désemparée, je reste là
Quand soudain, je me retourne, il se recule,
Et la foule vient me jeter entre ses bras...
Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne Écrasés l'un contre l'autre Nous ne formons qu'un seul corps
Et le flot sans effort Nous pousse, enchaînés l'un et l'autre
Et nous laisse tous deux Épanouis, enivrés et heureux.
Entraînés par la foule qui s'élance
Et qui danse Une folle farandole
Nos deux mains restent soudées
Et parfois soulevés Nos deux corps enlacés s'envolent
Et retombent tous deux Épanouis, enivrés et heureux...
Et la joie éclaboussée par son sourire
Me transperce et rejaillit au fond de moi
Mais soudain je pousse un cri parmi les rires
Quand la foule vient l'arracher d'entre mes bras...
Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Nous éloigne l'un de l'autre
Je lutte et je me débats Mais le son de sa voix S'étouffe dans les rires des autres
Et je crie de douleur, de fureur et de rage Et je pleure...
Entraînée par la foule qui s'élance
Et qui danse Une folle farandole Je suis emportée au loin
Et je crispe mes poings, maudissant la foule qui me vole
L'homme qu'elle m'avait donné
Et que je n'ai jamais retrouvé...
domingo, 24 de octubre de 2010
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